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Webographie commentée

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Articles de site internet

L’article « Les maisons closes » est consultable sur le site Histoire par l'image. Il s’agit d’un site sur la culture artistique, il propose des analyses à l’aide d’images afin de comprendre l’histoires d’œuvres diverses. Cet article a été écrit par Catherine Authier, professeure d’histoire enseignant dans des écoles d’arts à Paris. Le site en lui-même est suivi et approuvé par le ministère de la Culture, mettant en confiance les visiteurs qui le consulterait. L’histoire par image est gérée par une équipe entièrement composée d’auteurs qui travaillent dans le domaine de l’art et qui sont répertoriés sur leur site. A ce jour, le site comporte l’analyse de presque 1600 œuvres.

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L’article « Les maisons closes » se compose de trois grandes parties : le contexte historique, l’analyse des images et une interprétation. L’auteure problématise et explique en détail dans ses trois parties les conditions des femmes travaillant dans des maisons closes. En premier lieu, Catherine Authier décrit «Le système réglementariste et la stratégie de l’enfermement» subit par les « marchandes d’amour », puis, dans un second temps, «A l’intérieur d’une maison close», l’auteur décrit ce qu’il s’y passe : une réalité difficile. Enfin dans «Le déclin des maisons de tolérance», elle apporte son interprétation des maisons closes dans l’art et décrit les débats qui eurent lieu autour de ces établissements et des conditions de vie des prostituées, avant que les maisons closes soient abolies.  La fin de l’article comporte une bibliographie et des mots-clés en lien hypertexte, renvoyant à des articles sur les mêmes thématiques.

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Cet article nous a aidé dans la rédaction de notre partie sur La représentation du nu féminin au XIXème siècle : entre érotisme, onirisme et réalisme. En effet, il nous a permis de recontextualiser assez précisément l’apparition des maisons closes, ainsi que la vision de la femme prostituée au XIXème siècle. Il nous a également permis de citer des artistes comme Henri Toulouse-Lautrec, pour illustrer nos propos et notre page par une de ses œuvres.

Écrit par Neil Collins, l’article « Nus féminins en histoire de l’art » est en ligne sur le site russe Gallerix. Ce site a pour thème l’art dans le monde à différentes époques et commenté par de nombreux collaborateurs bénévoles. On retrouve des articles allant des débuts de l’humanité jusqu’à la fin du XXème siècle. Le site se qualifie d’encyclopédie artistique. En effet, il comporte de très nombreux articles très variés sur différentes thématiques. Localisé à Moscou en Russie, le site est traduit en quatre langues : espagnol, anglais, français et chinois. L’article se compose de plusieurs petits paragraphes décrivant les représentations du nu féminin à travers différentes ères artistiques et apporte des informations intéressantes, exploitables et vérifiables. Il se termine sur une liste des « 20 plus grands nus féminins de l’histoire de l’art ». Les auteurs ont l’air de tous être des bénévoles sur qui il est difficile d’obtenir des informations. On ne retrouve également rien sur l’auteur de l’article, Neil Collins qui semble être un nom d’emprunt. On constate cependant que ses articles sont souvent cités dans d’autres articles sur l’art et que ses écrits sont vérifiables de différentes façons.

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L’article en lui-même comporte un grand nombre de sources et références iconographiques, signalés par des liens cliquables, renvoyant à d’autres articles. On ne trouve pas de bibliographie en fin de page ou en notes de bas de pages. Cependant, les sources de cet article semblent être fiables bien que non citées, en effet, on retrouve des informations écrites citées auparavant dans une interview par Ludovic Laugier, conservateur du patrimoine au musée du Louvre. Ce qui nous amène à penser que tout ce qui a été écrit est potentiellement vérifiable. A cause du manque de sources écrites, on ne peut pas dire que la page en elle-même est entièrement fiable, à moins de rechercher chaque affirmation écrite, cependant, on note qu’en navigant sur le site, d’autres articles écrits par le même auteur sont sourcés.

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Cet article a été utile dans nos recherches car traite le thème du nu féminin de façon ordonnée et concise, apportant de nombreux éléments comme des dates clefs, les principaux acteurs et enjeux durant les périodes décrites et enfin, des exemples d’œuvres illustrant ces époques. Ces courts paragraphes ont apporté des informations que nous avons utilisées pour deux de nos articles, sur le nu féminin à l’Antiquité et à la Renaissance. L’article met en lumière le sculpteur antique Praxitèle et le peintre italien Giorgione que nous avons présenté les travaux.

L’Express, le site sur lequel est hébergé l’article est un journal d’actualités hebdomadaires français. Selon le Decodex, qui vérifie les données, le site est en lui-même fiable, mais conseille de confirmer les affirmations que l’on pourrait trouver à l’aide d’autres sources. Le site est spécialisé dans l’actualité et la culture contenant de nombreuses critiques de différents supports. On peut dire que cet article est plutôt fiable, car la personne interrogée est une professeure spécialiste en peinture. On peut noter après de rapides recherche sur sa personne que Nadeije Laneyrie-Dagen a également travaillé dans la recherche à l’ENS et elle est membre de L’INHA (Institut National de l’Histoire de l’Art). Ainsi, cela ne fait donc aucun doute sur sa légitimité dans le domaine des arts. Elle a également plusieurs publications à son actif et a travaillé avec le Haut Conseil de l’éducation artistique et culturelle, ainsi que l'École nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris.      

     

L’article portant sur la Renaissance a été écrit par la journaliste et critique d’art Annick Colonna-Césari. Il s’agit d’une interview sur le thème de la nudité durant la Renaissance. La personne interrogée est la professeure d’histoire de l’art Nadeije Laneyrie-Dagen, spécialiste en peinture. L’article est articulé distinctement : la journaliste commence avec une citation de l’experte puis, pose une question écrite en gras et laisse la spécialiste répondre. On compte douze paragraphes dont chacun sont des réponses à une question de la journaliste. L’interview nous renseigne sur la condition de la femme et sa représentation dans l’art à la Renaissance et pose un contexte historique essentiel pour comprendre les mentalités de l’époque. La professeure raconte ainsi l’évolution des mœurs divers liés à l’art, aux Hommes et aux rapports qu’ils entretiennent à la Renaissance.

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Cet article a été utile pour notre article sur La représentation du nu à la Renaissance de plusieurs façons. Grâce à celui-ci, nous avons pu préciser d’où venaient les principales sources d’inspirations pour le nu féminin. En dehors de la redécouverte du statuaire antique : les courtisanes. Dans un second temps, Nadeije Laneyrie-Dagen confirme et appuie les propos tenus dans l’extrait du Dictionnaire de la peinture, apportant des éléments sur la vision du nu virginal et du nu érotique. Enfin, sa réponse à la question « De la femme ou de l'homme, qui détient la beauté idéale ? » fut si claire que nous l’avons cité dans notre article.

FATTOUH-MALVAUD, Nadine, "Le scandale de la réalité", In Histoire par l'image, [en ligne], mis en ligne en septembre 2020, http://histoire-image.org/fr/etudes/scandale-realite, Consulté le 4 avril 2021.

L’article « Le nu » est disponible sur le site L’histoire par l’image. Ce site rassemble des articles portant sur des œuvres classés par périodes et thématiques historiques, se concentrant le XVIIème siècle jusqu’à la moitié du XXème siècle. La richesse iconographique des œuvres est complétée par des analyses et des commentaires. Les images sont commentées et analysées par des experts qui sont tous répertoriés sur le site par ordre alphabétique. Ce sont des professionnels, parmi eux on retrouve des écrivains, des historiens de l’art ainsi que des historiens. Ces articles sont stabilisés. En effet, les experts restituent leur connaissance pour contribuer aux analyses et commentaires des diverses œuvres et périodes allant de 1643 à 1945. Les analyses et les commentaires sont donc fiables. De plus, cette fiabilité est assurée par les partenaires de ce projet. En effet, ce site est soutenu par le ministère de la culture et de l’éducation nationale, de la jeunesse et des sports.

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D’un point de vue du contenu lui-même, la page « Le nu » est une page qui aborde la thématique du XIXème siècle et qui dirige vers des articles consacrés chacun à une œuvre, à des thématiques et des mouvements. On retrouve, par exemple, le mouvement impressionniste avec le tableau Olympia d’Edouard Manet réalisé en 1863 et conservé à Paris au Musée d’Orsay. Cette page est donc composée de textes et d’images mais également de vidéos. Dans ces dernières des professionnels interviennent dans des vidéos courtes d’environ trois minutes. La vidéo reprend l’analyse faite dessous la vidéo, en mettant en image les tableaux et les éléments cités dans l’œuvre. Les vidéos peuvent être réalisées par un musée comme celle d’Olympia réalisée par le Grand Palais. Chaque œuvre est sourcée, restituée dans son contexte, analysée puis interprétée. De plus, une bibliographie est disponible et des commentaires peuvent être postés sous chaque œuvre commentée. Les internautes apprécient la pertinence et la richesse des analyses. De plus, les internautes partagent également leurs analyses et interprétations.

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La page portail « Le Nu » nous renseigne sur les différentes conceptions dans lesquelles le nu féminin est représenté au cours du XIXème siècle. Pour réaliser l'article sur le XIXème siècle nous nous sommes appuyés sur les analyses de Catherine Authier sur les maisons closes, de Nadine Fattouh-Malbaud pour l'œuvre Olympia de Manet, d'Alexis Merle du Bourg pour le tableau de La Toilette d'Esther de Chassériau et enfin d'Alexandre Sumpf pour La Petit-Baigneuse - Intérieur de harem d'Ingres.

MERLE DU BOURG, Alexis, "La toilette d'Esther", In Histoire par l'image, [en ligne], mis en ligne en mars 2016, http://histoire-image.org/fr/etudes/toilette-esther, Consulté le 4 avril 2021.

L’article « Un idéal de beauté grecque » est disponible sur le site officiel du musée du Louvre. Ce site rassemble des informations sur les visites du musée qui est actuellement fermé à cause du Covid-19. Le site permet d’explorer quatre menus : « Le palais » qui se divise en trois ailes (Richelieu, Sully et Denon), puis « Les jardins » du Carrousel et des Tuileries, « Les collections » du musée ainsi que « Les parcours » qui sont proposés pour visiter le musée. Un onglet est réservé à l’actualité et à la programmation du musée. Le site est disponible en plusieurs langues car il est consulté par un public international. Enfin, deux autres onglets sont réservés à la boutique du musée et à la billetterie. Le site est fiable et stabilisé. En effet, les auteurs sont des responsables du musée du Louvre. Cette institution est fiable que ce soit par ses auteurs que par son contenu. De plus, le site est soutenu par le ministère de la culture.

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D’un point de vue du contenu lui-même, l’article « Un idéal de beauté grecque » est disponible dans le menu « Le Palais ». Des salles sont consacrées à l’art grec classique et hellénistique. Ces salles font parties du palais de l’aile Sully. Cet article est principalement dédié à la Vénus de Milo exposée dans la salle 345. L’article raconte son histoire et sa découverte. L’histoire de la galerie en elle-même est également racontée. Des photos accompagnent les articles ainsi qu’une vidéo en anglais de 2 minutes et 14 secondes consacrée à la Vénus de Milo. Enfin, les « chefs-d’œuvre de la sculpture grecque » de ces salles ont été sélectionné sur l’article. Chaque œuvre est photographiée avec son nom. Lorsque l’on clique sur l’image elle s’agrandit cela nous permet de cliquer sur le lien « en savoir plus sur l’œuvre ». Ce lien nous redirige vers le cartel complet de l’œuvre sélectionnée. Parmi ces sculptures sélectionnées on retrouve la Vénus de Milo, la Vénus d’Arles ou encore le torse type de l’Aphrodite de Cnide.

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Cet article nous a permis de sourcer chaque œuvre de notre article consacré à la représentation du nu féminin dans l’art grec. En effet, tous les cartels des œuvres sont référencés via cet article qui permet de restituer clairement et de manière fiable les œuvres : la date de création, l’époque, si c’est une copie romaine ou un original grec, la matière ou encore le sculpteur de l’œuvre originale y sont référencés.

Cet article sur la « Représentation artistique du nu – La Renaissance » provient du blog nommé Art et littérature, hébergé par la plateforme Overblog. Le site comporte près de huit cents articles dont la longueur varie sur différents thèmes allant de la peinture à la musique, en passant par les poèmes. Tous ces articles ont été écrits entre 2008 et 2011, par Oriane, internaute et auteure dont on ne connait pas plus que le prénom. Tous ces articles, dont celui-ci comporte quelques photos et de courts paragraphes. Si ce site ne permet pas d’affirmer qu’il est une source sûre et fiable car l’auteure, en plus d’être anonyme, ne cite pas ses sources, on peut cependant confirmer les propos tenus en faisant des recherches sur internet. Ce site à pour but avant tout de partager des informations de façon simple et synthétisées à destination d’un large public. La recontextualisation est claire et appréciable, ainsi que la description du thème par des images qui elles, sont sourcées.

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Dans son article, l’auteur met en évidences les différents enjeux de la Renaissance, expliquant la rapide évolution des mœurs grâce à la redécouverte des arts antiques. On en apprend plus sur la vision du corps féminin et ses différences de représentations avec le corps masculin, appuyé par des images. L’auteur prend des raccourcis dans l’histoire pour insérer des anecdotes sur cette période particulière et cite très souvent pour illustrer celles-ci et ses exemples, des noms d’artiste suivi d’une de leur œuvre. L’auteur termine son article comme les trois autres utilisés, en écrivant quelques lignes sur le Concile de trente et les conflits religieux ayant eu lieu à ce moment.

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Cet article nous a été utile car il nous a permis de mieux comprendre, et de façon plus synthétisée certains enjeux de la Renaissance comme les différences entre corps nus féminins et masculins. En plus de cela, il nous a permis d’être plus précises dans la rédaction de notre dernière partie sur La représentation du nu à la Renaissance grâces aux anecdotes sur la censure de Daniele da Volterra que nous avons pu ré utiliser. C’est également de cet article que nous nous sommes inspirés pour choisir les œuvres à commentés comme la Vénus de Lorenzo di Credi et La naissance de Vénus de Botticelli.

SUMPF, Alexandre, "Ingres et les femmes aux bains : l'hygiène exotique", In Histoire par l'image, [en ligne], mis en ligne en mars 2016, http://histoire-image.org/fr/etudes/ingres-femmes-bains-hygiene-exotique, Consulté le 4 avril 2021.

Articles scientifiques

Cet extrait du Dictionnaire de la peinture chez Larousse a été écrit par un collectif d’auteurs spécialistes dans le domaine de l’art dont les noms n’apparaissent pas sur la page web. L’article est hébergé par le site Larousse situé dans la rubrique « Encyclopédie ». L’extrait se compose de vingt-sept paragraphes qui développent les différentes expressions du nu dans les arts du Moyen-Âge à nos jours. Le site en lui-même contient un forum très actif avec en moyenne dix mille visites par posts. La page et le site sont également traduisibles en six langues : en anglais, allemand, chinois, italien, espagnol et arabe. En sommes, les langues les plus parlées dans le monde. Provenant d’un ouvrage publié par les éditions françaises Larousse et donc vérifié, on peut dire que la source est fiable. En effet, en plus d’avoir été vérifiée et approuvée, la source provient d’une maison d’éditions spécialisé dans le référencement. Le fait que ces écrits soient devenus aujourd’hui les références de notre langue, approuvées par les spécialistes de celle-ci depuis des siècles, rajoute du crédit à la source, la rendant donc très sûre.

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D’un point de vue du contenu, il est organisé de façon chronologique avec une remise en contexte historique à chaque début de chapitres. Tous les paragraphes comportent également des mentions d’exemples d’œuvres en rapport avec la période décrite. L’ensemble de l’extrait est riche de détails et d’informations pertinentes. Il apporte ainsi des informations sur le nu en général aidant à comprendre ainsi les enjeux de la représentation du nu à la Renaissance. Le texte est assez dense et riche. Chaque exemple est décrit avec soin et suit un fil logique. Les chapitres : « Le XIVème et le XVème siècle » et « Le XVIème siècle » comportent à eux deux six sous-parties se focalisant notamment sur Venise et ses nus plus libres ainsi que le rôle des modèles antiques.

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L’article a beaucoup apporté pour l’écriture de l’article sur La représentation du nu à la Renaissance. Etant une source très fiable, nous l’avons utilisé pour poser un contexte historique, du début de la Renaissance. Ainsi que les différentes étapes de représentation du nu : pur et virginal au nu érotique juste avant le Concile de Trente. Très fourni, cet extrait du Dictionnaire de la peinture a mis quelques termes en évidence comme le décorum qui s’est révélé être un mot très important pour comprendre les limites de la peinture à la Renaissance. L’article, en plus de citer des noms d’artistes et des œuvres importantes et reconnues, nous a également permis de préciser exactement quand et où l’on pouvait trouver le plus de nus féminins durant cette période ; qui pouvait censurer la nudité avant l’arrivée du protestantisme et des actes iconoclastes qui suivirent le Concile de trente.

L’article « Nu » disponible sur le site encyclopédique Encyclopædia Universalis, qui se caractérise par des articles dédiées à la recherche documentaire, la culture générale ainsi que l’enseignement portant sur toutes les disciplines. Une barre de recherche permet d’accéder à des articles portant aussi bien sur des biographies que des sujets précis. Tous les articles sont écrits et sourcés par des professionnels. Parmi eux, on retrouve des écrivains, des historiens de l’art, des enseignants ou encore des professeurs d’université. Ces articles sont donc stabilisés. En effet, chaque auteurs qui écrits sur son champ de discipline voit son texte corrigé et soumis à une vérification d’une série de données au terme duquel l’article pourra finalement être mis en ligne. Les articles sont donc fiables. De plus, ce site est soutenu par l’Education nationale qui propose un abonnement annuel forfaitaire en ligne à des établissements scolaires comme l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, des bibliothèques, médiathèques et des centres de documentation.

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D’un point de vue du contenu lui-même, l’article du « Nu » est écrit par Mario Praz un ancien professeur à l’université de Rome. Il aborde la question du nu sous différents angles. Tout d’abord, il revient sur les origines grecques du nu, de sa conception éthique et psychologique propre aux Grecs. Puis, il démontre comment à travers les siècles et les idéologies la conception du nu a changé. Son article est divisé en sept parties, qui sont les suivantes : l’idée grecque du nu et son évolution, le nu féminin, les sources grecques de l’iconologie chrétienne, le nu réaliste, le mépris de l’imitation, l’homme mesure du monde et enfin le rapport du nu et de la pornographie. Ainsi, Mario Praz fait une synthèse de toutes les interprétations que le nu a suscité de l’époque Grecque à la Renaissance.  

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De ce fait, l’article « Nu » nous renseigne sur les conceptions originelles du nu, notamment le nu féminin, qui n’était pas destinés à être érotique dans la conception originelle grecque. Ainsi, nous nous sommes servies de ces différentes parties pour structurer nos onglets et notre sujet. Notamment, la première partie sur l’idée grecque du nu et son évolution qui constituera notre premier onglet. Puis, de la représentation du nu comme péché et du rapport du nu et de la pornographie à la Renaissance et au XIXème siècle.

Vidéos

La vidéo « [Louvre] Aphrodite, mythe de la Grèce Antique » est disponible sur le site web d’hébergement de vidéos YouTube. Ce site rassemble des vidéos que les utilisateurs peuvent envoyer, regarder, commenter, évaluer et partager. Ce site rassemble des thèmes variés et riches sur n’importe quel sujet. N’importe quel utilisateur peut publier une vidéo. Ainsi, les vidéos ne sont pas stabilisées et ne sont ni fiables. C’est pourquoi, il faut mener une recherche en amont sur les utilisateurs et les organismes qui publient des vidéos. On peut retrouver des chaînes YouTube d’organisme officielle comme le Musée du Louvre ou encore l’émission franco-allemande Arte. Les vidéos publiées peuvent durer une minute ou plus d’une heure, il n’y a pas de limite. Les vues des vidéos, la date de publication des vidéos ainsi qu’une description de l’utilisateur venant compléter sa vidéo sont disponibles lors du visionnage d’une vidéo sur YouTube.

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D’un point de vue du contenu lui-même, la vidéo « [Louvre] Aphrodite, mythe de la Grèce Antique » a été publiée par la chaîne YouTube Scribe Accroupi le 21 décembre 2020. Cette chaîne publie des web-série, des expositions ou encore des interviews de conservateur du Musée de Louvre. Cette chaîne YouTube est donc fiable car même si l’utilisateur qui publie ces vidéos est anonyme, les entretiens qu’il réalise et publie sont tenus par des professionnels du sujet. Ainsi, dans cette vidéo sur Aphrodite, Ludovic Laugier, conservateur du patrimoine en charge des sculptures grecques, étrusques et romaines du Musée du Louvre, propose une rétrospective des évolutions du mythe d’Aphrodite et d’artistes de la Grèce Antique. Cette vidéo dure 27 minutes et 54 secondes et fait partie d’une web-série de quatre épisodes d’environ 27 minutes sur les sculptures et les artistes de la Grèce Antique, toujours présentée par Ludovic Laugier au Musée du Louvre.

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Cette vidéo nous renseigne sur les différentes représentations d’Aphrodite, la déesse de l’amour et de la fécondité, dans les imaginaires grecs. La déesse est replacée dans son contexte de l’époque hellénistique. Aphrodite est une déesse ayant de multiple représentation au fil de l’époque Grecque. Cette vidéo nous renseigne sur la représentation du nu féminin en Grèce Antique et donc par extension le canon de beauté idéal de la femme en Grèce Antique.

Images

Image de la bannière : Agnolo Bronzino (1503-1572), Vénus, Cupidon et un satyre, 1553-1555, huile sur bois, 135x231cm, Rome, Galerie Colonna.

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Animation de la page d'accueil : Caelan Kelley, Artemis, in Pixabay, [en ligne], mis en ligne en 2020, https://pixabay.com/videos/artemis-goddess-statue-diana-56536/.

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